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I Know A Place x Feelead : accompagner les managers dans la démarche QVCT

I Know A Place x Feelead

Un partenariat pour accompagner les managers à instaurer une démarche QVCT

I Know A Place devient partenaire de Feelead pour vous proposer une nouvelle solution.

L’application Feelead aide les managers à relever les défis du quotidien tout en leur permettant de se développer, de manière simple et rapide, sur leurs compétences clés. I Know A Place enrichit l’app feelead avec un nouveau module axé sur le bien être au travail.

L’objectif ? Aider les managers à adopter la bonne posture pour favoriser une bonne qualité de vie et conditions de travail pour les collaborateurs au sein de l’entreprise.

Cette solution digitale d’auto-coaching, nous répondons au besoin des managers, et des entreprises, de continuer à s’améliorer dans ce domaine.

Pour une démo gratuite n’hésitez pas à nous contacter.

Découvrez-en plus dans cette vidéo

Vous souhaitez mettre en place une démarche de Qualité de Vie au Travail ?

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Comment maintenir l’engagement des collaborateurs ?

Comment maintenir l’engagement des collaborateurs ?

Alors que les écoliers reprennent le chemin de l’école, nous sommes nombreux à reprendre celui du travail. Pour certains, cette reprise post estivale se fait à reculons. Loin du train-train quotidien, ils ont eu le temps de réfléchir au sens de leur vie et à celle, idéale, qu’ils aimeraient mener, et se retrouvent confrontés à une réalité en total décalage. Difficile, dans ces conditions, de se sentir motivés….

Mais il y a désormais un phénomène nouveau

La question de l’engagement des collaborateurs ne se pose plus uniquement de manière périodique et ciblée (génération Z en soif de sens, après une réorganisation, une période de coupure…). Elle se pose tout au long de l’année et pour l’ensemble des collaborateurs, tous niveaux hiérarchiques et toutes générations confondues. 

Intégrer, dans sa politique d’entreprise, des mesures concrètes permettant de maintenir l’engagement des collaborateurs est donc incontournable. Cela suppose, en amont, d’en comprendre les principaux facteurs, puis d’identifier les leviers les plus adaptés à son contexte et ses spécificités. Un joli casse-tête pour lequel, heureusement, nous vous proposons quelques clés ! 

La démultiplication des facteurs de désengagement

L’engagement est l’acte par lequel un individu va s’investir de manière active et volontaire dans une action collective. C’est en quelque sorte la condition sine qua non à la performance d’une entreprise. Vous pouvez réunir les collaborateurs les plus brillants, s’ils ne sont pas engagés, voire pire s’ils sont désengagés, vous irez droit dans le mur. 

Or, de nombreux observateurs se rejoignent sur un point : nous connaissons depuis près de 3 ans, un durcissement de la question de l’engagement des collaborateurs dans l’entreprise. Si les causes sont multiples, on peut pointer en premier lieu le contexte particulièrement tumultueux et anxiogène dans lequel nous vivons : aux différentes crises économiques, sanitaires, mondiales etc. s’est ajouté un monde du travail en perpétuel changement avec, notamment, le développement de nouvelles organisations du travail de plus en plus hybrides.

Ces nouveaux modes de travail ont de nombreux avantages mais aussi de nombreux inconvénients : isolement, perte de lien social, perte d’intelligence collective (en 2021 : 33% des Français interrogés admettaient qu’ils participaient de moins en moins à des sessions collectives), perte de culture d’entreprise, retour en force du management command and control désuet et inadapté etc. Des impacts négatifs qui ne sont pas sans conséquence sur l’engagement des salariés. Or, on le sait aujourd’hui, l’engagement des collaborateurs a un impact direct sur l’absentéisme, le turnover, la productivité, la satisfaction client, le bien-être au travail, et plus largement la performance individuelle et collective.

De manière extrêmement concrète, c’est un coût du désengagement qui est évalué à 15 000 euros par an par salarié selon l’IBET (l’Indice du Bien-Être au Travail), si l’on recoupe les différents coûts liés au recrutement, à la formation, à la baisse de productivité etc.

Pour faire simple, un collaborateur désengagé travaille moins et moins bien, et il est beaucoup plus susceptible de quitter l’entreprise. C’est ainsi que les Etats-Unis font face à un phénomène sans précédent, dit de la Grande démission, avec pas moins de 38 millions de salariés qui ont claqué la porte de leur entreprise en 2021. Si un tel phénomène ne s’observe pas dans les mêmes proportions en France, on note tout de même une plus grande volatilité des collaborateurs et une augmentation notable des demandes de rupture conventionnelle. 

Nul doute que pour tenir la route, une entreprise doit intégrer la question de l’engagement de ses collaborateurs dans sa politique générale comme un levier clé de performance durable.
Et les principaux leviers sont de 4 ordres :

1. Un besoin de revenir aux sources : la quête de sens

La quête de sens n’est plus l’apanage des seules générations Z nées après 1997. Les plus anciens, ceux des générations Y mais aussi X, revendiquent également de réaliser un travail qui a du sens. L’explosion des statuts de freelance et d’entrepreneurs en sont la preuve, on sait alors pourquoi et pour qui on travaille.

Pour répondre à ce levier clé d’engagement, il est donc important d’expliquer en quoi l’entreprise tout entière, comprenant chacun des collaborateurs, participe à un projet plus grand. Revenir ainsi régulièrement sur la vision et la mission de cette dernière. 

Pour un manager, cela veut dire sortir la tête de l’opérationnel pour prendre de la hauteur. Et revenir régulièrement auprès de ses équipes sur la vision, la mission de l’entreprise et en quoi chacun y participe à son échelle. Il est important d’instaurer des rituels de communication, pour revenir dessus de manière régulière afin qu’aucun ne le perde de vue. En d’autres termes, expliquer à vos équipes vers quoi on va, pourquoi on y va, et ce qu’on projette de faire ensemble. Un exercice trop souvent fait une fois dans l’année et oublié ensuite, alors qu’il doit être le fil conducteur des décisions et des actions de l’équipe.

A titre d’exemple de bonnes pratiques que nous avons pu observer, c’est le rappel toutes les semaines, à chaque réunion d’équipe, de la mission de l’entreprise et des chiffres clés réalisés. Mais naturellement, la quête de sens ne saurait être assouvie si l’on se contente de donner celui de l’entreprise. Le même chemin doit être réalisé dans l’autre sens. En d’autres termes, prendre le temps de connaître ses collaborateurs et de comprendre ce qui les anime en échangeant de manière régulière sur leurs leviers de motivation, leurs valeurs, leurs principes, leurs attentes etc…tout ce qui fait qu’ils vont garder du sens, leur propre sens, dans leur travail.

2. Savoir gérer les équilibres

Nous sommes passés d’un système où la vie personnelle devait s’adapter à la vie professionnelle à un système totalement inverse. Dans le monde du travail actuel, la vie personnelle fait pleinement partie du quotidien professionnel et les collaborateurs s’attendent à ce qu’on prenne en compte leurs besoins personnels. Le rapport de force est désormais en faveur des salariés qui choisiront une entreprise qui prend en compte les équilibres de vie. 

Mais sur ce point, il n’existe pas une solution applicable à tous. Il s’agit pour les entreprises d’être à l’écoute des attentes de leurs collaborateurs et de savoir s’adapter, en bonne intelligence, afin d’y répondre au mieux. 

Une chose est sûre, la gestion des équilibres contraint de passer de modes de management command and control, décriés mais toujours existants dans bon nombre d’entreprises, à un « care management ». Cela veut dire positionner en première ligne, dans son rôle de manager, l’accompagnement des collaborateurs dans la gestion des temps. Les aider à gérer leur charge de travail, à prioriser et à s’organiser. Cela veut dire également se soucier de leur bien-être : être attentif, questionner, échanger, interroger sur ce sujet, proposer son aide dans la limite de son rôle et activer les autres ressources internes lorsque nécessaires.

En pratique, cela suppose de manager par la confiance. En d’autres termes, de passer d’un management de la tâche à un management par résultats, en considérant que le collaborateur est autonome dans la manière d’avancer, le manager étant là uniquement pour le conseiller ou l’aider si besoin.

La confiance va de pair avec l’autonomie, sachant qu’elle se calibre selon le niveau de compétence du collaborateur. Elle n’est pas aveugle, elle est adaptée selon l’ancienneté, l’expertise et la maturité.  Mais pour manager par la confiance, il faut déjà être capable de se faire confiance. Ce qui suppose de bien se connaître, d’accepter ses qualités et ses lacunes, et d’accepter également les aléas. En cela la confiance prend vie avec un certain niveau de lâcher prise.

3. Intégrer le futur du collaborateur

Une autre variable fondamentale de l’engagement des collaborateurs est la capacité à s’intéresser à leur avenir. Mis à part le cas du CDD ou autre contrat à durée courte, lorsque vous embauchez un collaborateur vous devez vous projeter avec lui. Il doit y avoir un engagement réciproque. Engagement fort du salarié en intégrant l’entreprise et engagement fort du manager sur un projet durable. Soucieux de leur employabilité et de leur plaisir à travailler, les salariés ont besoin de savoir qu’ils sont dans une entreprise qui leur permettra de se maintenir à niveau mais aussi de varier les expériences. 

En pratique, il s’agit de montrer qu’on est attentifs à leur évolution de carrière et à leur développement professionnel et personnel, et mettre les moyens pour que cela prenne vie. Montrer que l’entreprise a des projets pour eux, qu’elle croit en eux et en leur futur. 

Pour un manager, il s’agit d’accepter et de favoriser la mobilité au sens large, non plus seulement de manière verticale mais aussi transversale. Faire preuve de créativité en raisonnant par mission. Il s’agit aussi de prêter une attention particulière à leurs plans de développement. En faire un sujet d’échanges réguliers, tout aussi important que le plan de performance, et aider le collaborateur à trouver des opportunités pour le concrétiser. Tout cela en favorisant le développement de compétences transversales, qu’on retrouve dans la plupart des métiers et qui sont donc fondamentales aujourd’hui pour évoluer dans le monde du travail. Des compétences qu’on appelle aussi soft-skills, telles que l’intelligence émotionnelle, relationnelle, la communication, la collaboration etc…

4. Favoriser la reconnaissance

La reconnaissance est un besoin fondamental sans lequel nous ne pouvons vivre. C’est ainsi que nous savons que nous existons, que nous sommes reconnus en tant qu’être à part entière et que nous avons notre place. Elle va de pair avec le besoin d’appartenance. Naturellement, elle ne doit pas être infantilisante ni artificielle. Il faut savoir donner, de manière sincère, les bons signes de reconnaissance au bon moment et à bon escient. 

Mais dans un monde du travail hybride, qui met encore plus d’espace entre les individus, instaurer des rituels pour penser à le faire peut s’avérer nécessaire. Combien de managers pensent du bien de leurs collaborateurs et aimeraient le leur dire, mais n’y pensent tout simplement pas, happés par leurs journées de travail ? Celle-ci peut être individuelle ou collective, comme remercier pour son implication ou fêter le succès d’un projet.

Au quotidien, cela passe par des choses assez simples. Tout d’abord, développer un état d’esprit positif. Voir le verre à moitié rempli plutôt que vide, rechercher les solutions au lieu de s’attarder sur un problème, féliciter pour l’audace, l’effort, le travail réalisé plutôt que voir ce qui a été raté etc. Cela passe encore par la distribution régulière de « stroke » : un « bonjour » un « bravo » un « merci », un « sourire » un « signe positif de la main ». 

Et enfin par travailler le feedback : intégrer les bonnes méthodologies de feedback qu’il soit écrit ou oral, présentiel ou distanciel et s’entraîner à le donner et à le recevoir. En pratique, il s’agit de montrer qu’on est attentifs à leur évolution de carrière et à leur développement professionnel et personnel, et mettre les moyens pour que cela prenne vie. Montrer que l’entreprise a des projets pour eux, qu’elle croit en eux et en leur futur. 

Pour un manager, il s’agit d’accepter et de favoriser la mobilité au sens large, non plus seulement de manière verticale mais aussi transversale. Faire preuve de créativité en raisonnant par mission. Il s’agit aussi de prêter une attention particulière à leurs plans de développement. En faire un sujet d’échanges réguliers, tout aussi important que le plan de performance, et aider le collaborateur à trouver des opportunités pour le concrétiser. Tout cela en favorisant le développement de compétences transversales, qu’on retrouve dans la plupart des métiers et qui sont donc fondamentales aujourd’hui pour évoluer dans le monde du travail. Des compétences qu’on appelle aussi soft-skills, telles que l’intelligence émotionnelle, relationnelle, la communication, la collaboration etc…

Les questions sur l’engagement sont complexes car il n’existe pas une réponse unique à apporter à l’ensemble de vos collaborateurs.
Mais quel défi passionnant quand on voit que le monde de l’entreprise ne fait qu’évoluer vers du meilleur et du plus attentif envers l’humain

Julie Guittard
Consultante en Qualité de Vie et Conditions de Travail
Directrice adjointe I Know A Place

“Trouver des solutions qui répondent aux besoins RH actuels et futurs pour faire de votre entreprise un lieu de référence en QVCT.”

Sophie Lordet
Consultante & coach en management
Présidente & Fondatrice Feelead

« Aider les dirigeants et managers à se développer sur leurs compétences clés, avant tout soft skills, pour être performants et sereins »

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QVT / QVCT, quelle est la différence?

QVT / QVCT, quelle est la différence?

C’est le nouvel acronyme de la QVT auquel on a ajouté la lettre « C ».

Vous étiez désormais tous familiarisés avec la signification de QVT pour Qualité de Vie au Travail. Après avoir lu cet article, vous saurez parfaitement ce que signifie QVCT et en quoi ce changement est génial pour les personnes comme moi qui militent depuis longtemps pour casser l’image réductrice de la QVT.

Comment est né cet acronyme?

Grâce à l’ANI (l’Accord National Interprofessionnel) du 9 décembre 2020 sur la santé au travail qui prévoit que le bien être des collaborateurs doit être pensé de manière globale.

On arrête de croire qu’en mettant du yoga, un babyfoot ou des massages, on améliore la qualité de vie de ses salariés. Faites-le si vous le souhaitez, mais pensez surtout à des actions sérieuses et pérennes.

La QVCT, c’est-à-dire la Qualité de Vie et des Conditions de Travail, c’est la résultante de 3 sujets centraux d’une entreprise : la Qualité de vie des salariés, leurs conditions de travail et la performance de l’organisation. Reprenons ces 3 points.

La Qualité de vie des salariés

Elle peut passer par un environnement de travail agréable, l’équilibre des temps de vie personnelle et professionnelle, avoir la possibilité de faire une activité physique sur son lieu de travail ou bien durant les horaires de travail. Bref tout ce qui contribue au bien être au travail de vos collaborateurs. 

Vous souhaitez savoir comment améliorer leur bien-être, questionnez-les car vous pourriez mettre en place des actions coûteuses sans aucun succès à la clé.

Les conditions de travail

C’est la manière de faire le travail. Derrière les conditions de travail, on retrouve donc les pratiques managériales, l’autonomie laissée au collaborateur, le niveau de stress, la charge de travail, bref tout ce qui va conditionner sa journée de travail.

La performance de l'organisation

En effet, la vie de l’entreprise on le sait est fluctuante et c’est normal. Il y a des hauts et des bas et il y a surtout des changements en permanence. 

L’entreprise doit donc accompagner ces changements, veiller à ce que ses collaborateurs aient les compétences attendues, anticiper les évolutions et donc les besoins en formations de ses salariés.

En conclusion, vous le comprenez, le passage de la QVT à la QVCT devrait favoriser des liens plus étroits avec la stratégie de l’entreprise.  La QVCT devient un pilier incontournable. A l’ère des difficultés pour recruter et fidéliser ses talents, faire de la QVCT un axe prioritaire c’est penser l’entreprise de demain.

Pour terminer, je conclurai en vous disant que la dernière enquête IFOP qui porte sur le regard des salariés après la crise, montre que pour 81% des salariés le bien être au travail doit être l’enjeu prioritaire des entreprises.

Si ce n’est pas une motivation pour faire de la QVCT votre priorité, je ne sais plus quoi dire 🙂

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Savoir déconnecter pour mieux profiter de ses congés

Savoir déconnecter pour mieux profiter de ses congés

L’été arrive, période à laquelle nous sommes nombreux à prendre des congés et pour en profiter pleinement il est important de savoir déconnecter.

De nombreux Français ont mal vécu ce 1er semestre 2022. La crise sanitaire qui dure, la guerre en Ukraine, le phénomène de grande démission, la hausse des prix, la perte de sens au travail…Bref le moral n’est pas au beau fixe.

Selon le sondage Opinion Way de mars 2022, 41% des salariés se trouvent en état de détresse psychologique. Il est donc plus que nécessaire de profiter de ses vacances pour souffler, se reposer et repartir sur de bonnes bases.

Alors comment on s’y prend ?

Déjà, il faut avoir en tête que partir en vacances ça se prépare ! Eh oui, on ne met pas « off » son PC pour plusieurs semaines sans avoir organisé son absence. Pourquoi ? Car il est impossible de déconnecter et d’être serein si vous passez votre temps à vous demander si vous avez transmis toutes les informations à votre collègue, ou si vous avez prévenu que vous ne seriez pas joignable durant un moment…

Comment anticiper son absence ?

Le jour de votre départ, faites vous une to-do-list des actions à réaliser et des dernières tâches à finaliser avant de partir. Dans cette to-do doivent figurer obligatoirement 2 points : votre passation et vos messages d’absence. Vous pouvez également prévoir de quitter le bureau plus tôt que d’habitude pour vous laisser un peu de marge pour de potentiels imprévus.

Comme vous allez être absent plusieurs semaines, il est indispensable de réaliser une passation à la personne qui reprendra vos dossiers durant vos congés. Vous devez alors :

  • Communiquer clairement l’ensemble de vos dossiers en cours,
  • Donner et montrer l’accès à vos dossiers sur votre réseau partagé par exemple,,
  • Transmettre les codes d’accès nécessaires pour y accéder

Si vous avez des clients/fournisseurs, pensez à les prévenir de votre absence et indiquez leur les personnes à contacter en cas de besoin. 
Enfin, vous rédigez votre message d’absence automatique sur votre adresse email en précisant :

  • La durée de l’absence et/ou le jour de votre retour,
  • Les contacts utiles en cas de besoin vers qui votre interlocuteur pourra se tourner.

Pensez également à enregistrer un message d’absence sur votre téléphone.

Dernier point mais qui est primordial, acceptez le fait de partir en congés sans avoir pu terminer tout ce que vous auriez souhaité boucler avant votre départ. C’est le jeu, il y aura toujours des tâches à réaliser, un email à rédiger, etc, etc. 

Vous avez traité les priorités, vous avez réalisé votre passation, programmé vos messages d’absence, maintenant place aux congés !

Et durant ses congés, on fait quoi ?

Eh bien votre « travail » est de ne pas penser au travail ! Déconnecter pour mieux se re connecter, voilà votre mission.

Selon une étude parue par YouGov en juin 2022, 48% des Français interrogés affirment redouter d’être à la plage ou en randonnée sans leur smartphone.

Mais comment fait-on alors pour déconnecter pleinement ?

Si vous avez un téléphone professionnel, je vous conseillerai de l’éteindre durant vos congés voire de ne pas l’emporter si vous partez. Et idem pour votre ordinateur ! 

Si vous n’avez pas de téléphone ou d’ordinateur professionnel, je vous invite à retirer vos notifications et l’accès à votre boîte mail professionnelle pour ne pas être tenté d’y jeter un coup d’œil. L’idée qui est de croire qu’en voyant simplement un email passer cela ne vous impactera pas, est un leurre. Vous n’aurez plus la tête à vos vacances, vous penserez irrémédiablement au dossier concerné, aux personnes impliquées et vous serez tenté de l’ouvrir, voire même d’y répondre.

Donc, déconnectez-vous et profitez de ces congés bien mérités pour prendre du temps pour vous. 

Si votre poste le nécessite, vous communiquez en amont à votre équipe le fait qu’ils pourront vous appeler uniquement en cas d’urgence en leur communiquant votre numéro personnel et que vous ne lirez pas vos emails. En faisant cela vous montrez l’exemple, vous responsabilisez votre équipe, et en cas d’urgence uniquement vous serez appelé.

N’oubliez pas que le droit à la déconnexion est, comme son nom l’indique, un droit. L’entreprise doit le respecter mais vous aussi vous avez votre part de responsabilité.

Quelles mesures peuvent être prises par l’entreprise pour aller plus loin ?

Pour éviter le stress du retour de congés ou passer le week-end avant sa reprise à lire ses emails pour être opérationnel le jour J, j’invite les entreprises à aller plus loin. Revenir détendu et serein de ses vacances c’est tout de même l’objectif recherché non ? Donc stresser à l’idée de mettre plusieurs jours, voire plusieurs semaines à épuiser son stock d’emails est totalement contradictoire.

Certaines entreprises ont donc mis en place des mesures assez fortes pour prévenir le risque de stress lié à la boîte mails pleine au retour de congés en supprimant automatiquement tous les emails reçues durant l’absence du collaborateur. Le constructeur allemand Daimler a mis en place ce processus depuis 2014 ; après avoir averti l’expéditeur par retour automatique de l’absence du destinataire, le mail envoyé est détruit.

Si cette mesure ne vous convient pas, en voici 2 autres plus douces mais qui auront pour effet de réduire le nombre d’emails :

La 1ère est de réaliser une charte de déconnexion précisant la possibilité pour le collaborateur d’inscrire dans son message d’absence que l’email ne sera pas lu.  Le message invite l’émetteur à renvoyer son email à la date de retour du destinataire ou à le transférer à une autre personne du service si urgence.

Vos salariés sauront alors que les emails reçus durant leurs congés peuvent ne pas être lus ni traités sans problème. De toute manière, aucune urgence ne se traite par email. Le collaborateur peut donc reprendre son activité sereinement à son retour.

La 2nde action est à réaliser au sein des départements directement. Il s’agit de communiquer le calendrier des congés de chacun et d’annoncer clairement qu’il ne faut pas envoyer d’emails aux absents. Cela réduira drastiquement la quantité d’emails pouvant être contenus dans la boîte étant donné qu’il ne restera que ceux venant de l’extérieur. 

Un bilan de ce qui s’est passé durant les congés du collaborateur sera fait à son retour par celui ou celle qui réalisait son back up. La transmission d’informations en face à face, autour d’un café et après avoir raconté ses vacances me paraît tout de même plus sympathique que de s’enfermer dans son bureau toute une journée devant son ordinateur non ? 

Alors, êtes-vous prêt à déconnecter pour passer de bonnes vacances et revenir serein ?

Nos experts se tiennent à votre disposition si vous souhaitez rédiger une charte de déconnexion pour vos collaborateurs, leur proposer une mini-formation sur le sujet ou tout simplement pour échanger avec vous.

N’hésitez pas à nous contacter via ce formulaire ou prendre un rendez-vous pour un audit gratuit de 30min.

Vous souhaitez évaluer rapidement votre démarche QVCT pour avoir un premier aperçu des actions en place au sein de votre structure ?

Nous avons conçu un test 100% gratuit et très rapide qui avec seulement quelques questions vous apportera un éclairage sur les actions en place et les leviers à actionner pour améliorer la QVCT de vos équipes. 

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Bilan de cette nouvelle semaine de la QVCT

Bilan de cette nouvelle semaine de la QVCT

La semaine de la QVCT (Qualité de Vie et Conditions de Travail) vient de s’achever,  il est temps de faire le bilan. Cette semaine m’a confortée dans ce que je percevais depuis la crise sanitaire, salariés comme Directions sont désormais convaincus de l’importance d’actions sérieuses pour améliorer le bien-être au travail. Et ça, croyez-moi, quand on est spécialisée dans la QVT, anciennement appelé « prévention des risques professionnels » et nouvellement QVCT, ça fait plaisir ! 😊

Durant les années 2015/2018 je me souviens avoir été gênée quand je me présentais comme « Responsable de la QVT ». A cette période, il était fréquent de faire l’amalgame entre QVT et « bonheur » au travail. J’en étais presque à m’excuser de mon titre lorsque je me présentais.

La COVID aura au moins permis de balayer cette idée de « bonheur » qui est totalement subjective à chacun, et surtout qui ne se limite pas à l’entreprise.
La Qualité de Vie au Travail doit passer par de bonnes conditions de travail et c’est pour cette raison que la lettre « C » a été ajoutée à l’acronyme QVT pour devenir QVCT. 

Pour cette nouvelle édition de la semaine de la QVCT, toute l’équipe d’I Know A Place a réalisé différentes actions, dont des webinaires, auprès de plus de 200 collaborateurs venant d’entreprises de tous secteurs. Je tenais à vous partager les 5 principales tendances qui sont ressorties de tous ces échanges car elles pourraient bien faire écho à votre actualité.

Les 2 premières évoquent des questions de communications. Les outils se sont multipliés mais pour autant, nous avons besoin de mieux nous comprendre et d’exploiter différemment tous les canaux de contact à notre disposition.

Tendance 1 : Traiter la gestion des emails devient urgent

Cet outil tellement utile est devenu un fléau pour la plupart des cadres et une source de stress qui ne fait qu’augmenter. Le sujet des emails va au-delà de la simple volumétrie, c’est un sujet de fond qui demande une réelle volonté de changement des pratiques.

Tendance 2 : Mettre en place des règles communes pour bien vivre le travail hybride

Nous pourrions penser que depuis 2020 les Français sont habitués avec le fait d’alterner travail sur site et travail à domicile, et pourtant, certains le vivent encore très mal. L’absence d’un cadre, de règles communes ou encore le manque de maitrise de la communication à distance, rendent le travail hybride très complexe pour beaucoup. Les différents partages d’expériences réalisés lors des webinaires ont montré que des actions provenant des entreprises manquaient notamment dans l’accompagnement des collaborateurs à cette nouvelle organisation de travail.

La solution I Know A Place : Nos experts peuvent vous accompagner dans la création du charte sur le télétravail, permettant d’établir quelques règles simples pour en faciliter la pratique. De plus, nous proposons de courtes webclasses ainsi que des kits pour vous guider, vous et vos collaborateurs, sur les bonnes pratiques du travail hybride et de la communication.

N’hésitez pas à nous contacter via ce formulaire ou prendre un rendez-vous pour un audit gratuit de 30min.

Les 3 autres points clés qui ressortaient, mettaient très en avant le rôle et l’importance des individus. La réussite de la mise en place de schémas de QVCT ne dépend plus seulement des bouleversements innovants induits, mais majoritairement de l’implication et du poids que les acteurs vont réussir à leur donner.

Tendance 3 : Responsabiliser chacun pour être acteur de sa QVCT

Nous avons souhaité briser une idée reçue lors de nos webinaires qui est que la QVCT n’est faite que pour certaines entreprises et qu’elle est de la responsabilité des Ressources Humaines. Certes, l’entreprise a sa responsabilité, mais chacun a un rôle à jouer et doit être acteur de sa QVCT. Une prise de conscience individuelle est un impératif pour agir sur le collectif.

Tendance 4 : Ne pas oublier les managers et l’importance de les accompagner

Les managers ont joué un rôle très important durant la crise pour s’adapter à un nouveau style de management qui s’est imposé à eux. Aujourd’hui, avec le travail hybride qui est devenu la norme, certains managers peuvent passer plusieurs semaines sans voir en physique leurs collaborateurs. Lors des webinaires, la crainte de passer à côté d’un collaborateur qui ne va pas bien, ou les difficultés à fédérer à distance sont autant de points qui ont été remontés et dont les managers étaient demandeurs de conseils pratiques.

La solution I Know A Place : Nous proposons des webclasses pour accompagner et former vos managers aux nouvelles compétences que demande le management hybride mais aussi des formations pour apprendre à identifier une personne en souffrance et comment l’accompagner.

N’hésitez pas à nous contacter via ce formulaire ou prendre un rendez-vous pour un audit gratuit de 30min.

Enfin la dernière grande tendance a certainement été accélérée par la crise que nous avons vécue. Les tensions, les émotions sont là et les régulations sont encore compliquées à mettre en œuvre. Les perspectives économiques vont certainement renforcer les difficultés émotionnelles.

Tendance 5 : Apprendre à gérer ses émotions

La dernière tendance qui est apparue à travers les échanges que nous avons pu avoir est la hausse des tensions, voire des conflits au sein des équipes. Les malentendus et mauvaises interprétations ont augmenté avec le travail à distance. Les managers peuvent également rencontrer des difficultés à avoir connaissance de certains conflits existants. Apprendre à gérer ses émotions devient alors un incontournable pour le bien-être de chaque collaborateur au niveau individuel et collectif.

Si ces sujets font écho à des problématiques que vous avez d’ores et déjà soulevées au sein de votre organisation, nos équipes se tiennent à votre disposition pour échanger avec vous et trouver ensemble les solutions qui vous conviennent.

La solution I Know A Place : Nous proposons des webclasses pour apprendre à gérer ses émotions ainsi que des fiches pratiques pour apprendre à bien communiquer et exprimer ses émotions au travail.

N’hésitez pas à nous contacter via ce formulaire ou prendre un rendez-vous pour un audit gratuit de 30min.

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Nous avons conçu un test 100% gratuit et très rapide qui avec seulement quelques questions vous apportera un éclairage sur les actions en place et les leviers à actionner pour améliorer la QVCT de vos équipes. Qu’attendez vous ?

Engagez une démarche de qualité de vie au travail et fidélisez vos talents avec I Know A Place

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Au secours, je souhaite garder mes talents !

Au secours, je souhaite garder mes talents !

Plus de 38 millions de personnes en 2021 ont quitté leur emploi aux Etats-Unis. Parmi eux, 40% n’avaient pas trouvé un autre poste quand ils ont franchi le pas. C’est dire comme l’envie de partir était grande ! La Grande démission est le phénomène américain qui tend à se généraliser.

En France, la vague de départs se fait sentir : 1 actif sur 2 indique vouloir changer de travail. Entre l’intention et la réalité, il y a souvent un gap… Mais d’ores et déjà certains indicateurs vont dans ce sens. Selon le Ministère du Travail, en juillet 2021, le niveau de démission de CDI était supérieur de près de 20 % à 2019.

Ces départs coûtent cher aux entreprises. Derrière le coût financier (coût du recrutement, coût pour former le nouveau collaborateur, coût du développement de ce dernier, coût du poste non pourvu) estimé entre 6 et 9 mois de salaire, le turn-over impacte aussi la culture d’entreprise. Il renvoie un mauvais signal aux nouveaux arrivants : celui d’une entreprise ne disposant pas d’avantages à même de fidéliser ses meilleurs éléments ! Ou encore d’une structure qui n’est pas suffisamment à l’écoute des attentes des collaborateurs. 

Enfin, le turn-over impacte aussi la productivité. Des collaborateurs en interne sont contraints de récupérer en urgence les projets en cours et cela engendre du stress et du retard dans la production des livrables.  

Avant de chercher des solutions pour garder ses talents, il faut comprendre les raisons à ces départs.  En prenant du recul sur ces deux dernières années, nous avons ouvert les yeux sur l’essentiel. Notre santé physique et mentale, mais aussi notre sécurité et l’importance de revoir notre sens des priorités. Nous ne sommes plus capables de supporter certaines insatisfactions liées au travail.

Notre bien-être est devenu un incontournable sur lequel il n’est plus possible de négocier

Comment désigner la pandémie coupable de nous faire prendre enfin conscience que nous sommes LA priorité ? Stresser, déclencher des maladies ou bien faire un burn-out pour le travail, en quoi est-ce normal ? Le travail doit avoir un impact positif sur nos vies pour les rencontres que nous y faisons, pour ce que nous réalisons, ce que nous créons, qui nous aidons, etc, etc.

Selon l’INSEE, si on a au moins un BAC+2, moins de 45 ans et qu’on vit dans une métropole, c’est le plein emploi. Il apparait donc logique de vouloir voir si l’herbe est plus verte ailleurs quand notre employeur ne semble pas se soucier de notre qualité de vie au travail (QVT). Il est donc urgent de passer à l’action.

Le casse-tête pour les employeurs réside dans le fait que la définition de la QVT est propre à chacun. Ol n’existe pas une recette miracle que l’on pourrait dupliquer partout. Mais les différentes études relèvent tout de même des grands incontournables pour tendre vers du meilleur.

Le 1er incontournable est le sens

La génération Z (personnes nées après 1997), qui était très critiquée avant la pandémie pour son besoin accru de sens dans son travail, était en fait avant-gardiste sur ce qui allait se généraliser avec la crise.

En effet, la Grande démission est le ras le bol de travailler sans comprendre pour quoi et pour qui on le fait, et surtout au regard du temps passé. Ce n’est pas pour rien que depuis la COVID il y a eu une explosion des statuts de freelance, d’auto-entrepreneurs et d’indépendants. En étant à son compte il est plus simple de répondre à ces questions et d’adapter son travail à sa vie personnelle, et non plus l’inverse.

Donner du sens c’est expliquer à son salarié en quoi son travail participe à un projet plus grand. Le sens au travail signifie de comprendre ce que l’on fait et le sentiment de faire partie d’un projet plus grand que soi.

Pour donner du sens, il faut savoir communiquer efficacement avec ses collaborateurs. Communiquer sur les valeurs de l’entreprise ou encore la stratégie à adopter pour instaurer un climat de confiance.

Le meilleur moyen de communiquer c’est d’opter pour des feedbacks réguliers et bienveillants. Donner et recevoir des feedbacks s’apprend, et une fois cet outil de communication maîtrisé, la communication au sein de votre équipe n’en sera que plus positive.

Pour donner du sens, il est important également de définir des objectifs SMART (spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporellement définis). Donner des objectifs personnalisés implique que les managers connaissent leurs collaborateurs. Ces derniers comprennent ce que l’on attend d’eux et du rôle qu’ils ont à jouer au sein du projet. Les salariés se sentent impliqués et donc s’investissent dans leur travail.

Le 2ème incontournable est la place donnée à la vie personnelle

Aujourd’hui la frontière entre la vie personnelle et la vie professionnelle n’existe plus. Le travail a envahi la sphère personnelle avec le télétravail, et la vie personnelle est devenue la priorité dont l’entreprise doit se soucier. Le salarié s’attend à ce que son manager prenne en considération ses besoins personnels.

Pour attirer des candidats face à une concurrence accrue, les entreprises ne peuvent plus faire l’impasse sur les avantages à proposer aux collaborateurs. Jours pour parents aidants, le paiement des abonnements sportifs ou encore la prise en charge financière des systèmes de gardes d’enfants sont autant d’idées attractives relevant de la sphère personnelle. Les entreprises ont bien compris qu’il fallait aller au-delà du télétravail qui désormais n’est plus vu comme un avantage mais un droit acquis. Certaines PME ont même instauré la semaine de 4 jours rémunérée 5 jours.

Faire le bilan sur les avantages proposés et connaître les attentes de ses collaborateurs, c’est un des moyens pour conserver ses talents dans cette période de plein emploi. Mais attention, vous devez faire preuve d’adaptabilité car chaque employé est différent et ses attentes le seront tout autant : certains préfèreront faire 5 jours de présentiel tandis que les jeunes parents par exemple attacheront plus d’importance à la possibilité d’aménager leurs horaires ou bien être 4 à 5 jours par semaine en télétravail…

Le 3ème incontournable c'est l'employabilité

L’employabilité, c’est la capacité qu’a un individu à être toujours attractif dans son entreprise ou sur le marché de l’emploi. C’est le fait de ne jamais être dépassé au niveau de ses compétences en évoluant continuellement en fonction des besoins.

L’entreprise doit, pour engager ses collaborateurs, avoir pour eux une vision à moyen et long terme. Non seulement le fait de penser l’avenir de son salarié est un vecteur de motivation, mais c’est aussi source de rentabilité pour l’entreprise. En effet, en capitalisant sur ses propres collaborateurs et en les faisant évoluer en continu, l’entreprise s’évite des coûts de ruptures conventionnelles, de recherches de nouveaux candidats, de formations, etc.

Manager le futur de son collaborateur c’est le former, l’aider à se développer et aussi favoriser la mobilité. Pour se faire, il faut connaître les compétences de son collaborateur : ses compétences métier (hard skills), mais surtout ses compétences comportementales (soft skills). Miser sur les softs skills de ses salariés permet de s’adapter aux différentes évolutions et donc de rester une entreprise performante.

Le dernier incontournable c'est la reconnaissance

La reconnaissance peut se faire de multiples manières mais elle doit se faire ! Il faut savoir reconnaître l’implication ou les résultats de ses salariés si on souhaite qu’ils continuent dans cette voie : dire merci, féliciter son équipe collectivement mais aussi montrer de la reconnaissance de manière individuelle…

La reconnaissance financière est elle aussi importante, surtout dans cette période d’inflation. En période de plein emploi, certaines entreprises mettent en avant des salaires élevés pour attirer des candidats, donc si vous avez la capacité d’augmenter les salaires ou de donner des primes, n’hésitez surtout pas à le faire.

En résumé, les employeurs ne sont pas en position de force actuellement. La Grande démission n’est pas une fatalité, ceux qui s’en sortiront seront ceux qui seront à l’écoute de leurs collaborateurs et qui passeront à l’action pour les retenir.

Vous souhaitez connaître l’état d’esprit de vos collaborateurs, évaluer leur niveau de satisfaction envers votre entreprise et surtout comprendre leurs attentes ?

Nos experts vous accompagnent pour les questionner et actionner les leviers qui répondront efficacement à leurs attentes. Ensemble, montrons à vos salariés que vous vous souciez de leur bien-être au travail.

Engagez une démarche de qualité de vie au travail et fidélisez vos talents avec I Know A Place

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Préparons ensemble votre semaine de la QVT

Préparons ensemble votre semaine de la QVT

Quels bénéfices à la mise en place d'une démarche QVT ?

source : The Wellbeing Lab

-125%

de burn-out

- 46%

d’arrêts maladie

3,5 fois

plus créatifs

6 fois

plus engagés

45 fois

plus satisfaits au travail

Alors, ne serait-ce pas le moment pour vous lancer ?

Du 20 au 24 juin prochain se déroulera la nouvelle édition de la semaine de la Qualité de Vie au Travail.

La QVT n’est plus une option si vous souhaitez impliquer, engager et fidéliser vos collaborateurs. Face à la vague de démissions mais aussi à l’évolution des attentes des collaborateurs, il est urgent de trouver les bons leviers pour garder ses talents et de miser sur la QVT ! Profitez de cette semaine dédiée au sujet pour mener des actions fortes et durables, et mettre en place une véritable démarche en faveur de la QVT.

Nos experts sont à votre écoute pour créer avec vous un programme sur mesure pour animer votre semaine de la QVT

Réalisez un bilan de 30 min GRATUIT avec un expert pour faire le point

Webinaires / master classes

Pour cette semaine de la QVT, nous vous proposons une série de webinaires d’une heure et demi chaque jour sur un thème précis.
En format inter-entreprise ou intra, fédérez vos équipes autour d’un thème d’actualité avec la présence d’un expert en QVT.

  • En inter-entreprise :
    – Accès à 1 webinaire : 300 €HT
    – Accès à 3 webinaires : 750 €HT
    – Accès aux 5 webinaires : 1200 €HT
  • En intra-entreprise :
    – Accès à 1 webinaire : 500 €HT
    – Accès à 3 webinaires : 1300 €HT
    – Accès aux 5 webinaires : 2100 €HT

Programme des webinaires pour la semaine de la QVT

Lundi 20 juin de 11h00 à 12h30

« Apprendre à être résilient et mieux gérer son stress »
Être capable de contrôler ses réactions au stress ou à une épreuve difficile, c’est faire preuve de résilience. Être résilient au travail c’est accepter ce qui peut être destabilisant professionnellement. Gérer son stress permet de continuer de mener ses missions et sa carrière malgré les aléas qui peuvent parfois nous affecter. Être résilient s’apprend, tout comme gérer son stress, et les bénéfices le sont autant pour notre vie personnelle que pour notre vie professionnelle.

Mardi 21 juin de 11h00 à 12h30

« Se sentir mieux dans son travail »
Être acteur pour son bien-être au travail, c’est possible. En plus de l’entreprise qui met en place des actions pour améliorer notre qualité de vie au travail, nous avons également un rôle à jouer pour favoriser notre bien-être. Après tout, nous passons autant de temps à travailler qu’à vaquer à nos loisirs personnels, il est donc cruccial de nous sentir bien au travail.

Mercredi 22 juin de 11h00 à 12h30

« Manager par le sens pour fidéliser les collaborateurs »
Vous constatez une baisse de motivation, voire un désengagement chez vos salariés ? A l’ère de la Grande démission, de multiples leviers sont à actionner pour conserver ses talents. Quels sont les enjeux et comment concrètement agir au quotidien pour maintenir l’engagement de ses collaborateurs ?

Jeudi 23 juin de 11h00 à 12h30

« Mieux communiquer pour favoriser l’esprit d’équipe »
Ces deux dernières années ont renforcé notre utilisation des outils numériques, avec tous les risques qu’ils peuvent engendrer. Malgré cette hyperconnexion, bon nombre de français se sentent seuls ou isolés tandis que d’autres n’arrivent plus à déconnecter. Savoir comment communiquer efficacement au travail permet de renforcer le bien-être au travail et l’esprit d’équipe, d’optimiser la collaboration et d’entretenir un bon climat social.

Vendredi 24 juin de 11h00 à 12h30

« Inviter les émotions au travail »
Après les soft-skills, ce sont désormais nos émotions, notre personnalité et donc qui nous sommes vraiment qui devient une nouvelle force pour les collaborateurs. Montrer ses émotions de manière appropriée permet de faire preuve d’authenticité et surtout d’inspirer la confiance. L’intelligence émotionnelle est une compétence très recherchée, qui permet de réhumaniser le monde de l’entreprise.

Kit : fiches pratiques & vidéos

Pour la semaine de la QVT, dévoilez chaque jour 1 fiche accompagnée de sa vidéo à vos collaborateurs pour les former, les sensibiliser sur différents sujets.

Construisons le kit adapté à vos envies et vos besoins pour dynamiser votre semaine de la QVT.

Exemples de thèmes : Bien gérer sa communication ; Prendre soin de soi ; Garder le rythme en télétravail ; Organiser son télétravail ; Être à l’écoute ; Entretenir le lien social ; Donner du sens… Tous nos kits sont personnalisables, n’hésitez pas à nous faire part de vos attentes en nous contactant.

Ateliers de co-construction

Pour obtenir l’adhésion de vos collaborateurs aux actions que vous mettrez en place, rien ne vaut leur contribution.

Impliquez les et faites leur confiance en les faisant participer à des ateliers de co-construction. Choisissons ensemble les thèmes qui vous correspondent et déterminons en petits groupes les leviers à activer pour améliorer la qualité de vie au travail de vos salariés.

Exemples de thèmes : Comment améliorer la communication ? ; Comment améliorer la QVT ? ; Comment intégrer un nouveau salarié ? ; Comment mettre les valeurs de notre entreprise en actions ?

Questionnaires courts

Connaître le ressenti de vos collaborateurs, leurs attentes, leur satisfaction, les solliciter pour améliorer leur propre qualité de vie au travail…

C’est ce que nous vous proposons de réaliser à travers un court questionnaire simple et rapide et ainsi déterminer quelles actions mettre en place.

Quels objectifs ? Ecouter vos collaborateurs, les impliquer, fidéliser vos talents et améliorer la QVT en actionnant les bons leviers.

Mode de travail ; Communication ; Ambiance ; Lien social ; Employabilité ; Sens au travail ; Sentiment de sécurité et de bien-être au travail…

Profiter de cette semaine dédiée à la QVT pour mettre en place de nouvelles actions au sein de votre structure. Nos experts sont disponibles pour répondre à vos questions et construire avec vous un plan adapté à vos attentes.

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Pratiquer l’écoute active

Pratiquer l’écoute active

L’écoute active, si vous n’avez pas entendu parler de ce sujet depuis la crise de la COVID c’est que vraiment vous n’écoutez pas activement 😊

Alors si c’est le cas, ou tout simplement si vous souhaitez obtenir une petite piqûre de rappel, voici ce qu’est la pratique de l’écoute active :

Je vous propose d’imaginer pour cela un entonnoir. D’un côté de l’entonnoir vous avez l’émetteur et de l’autre le récepteur. De manière naturelle (et c’est tout à fait normal), entre ce que l’émetteur va vouloir dire, ce qu’il va exprimer, et ce que le récepteur va entendre, interpréter et comprendre il va y avoir une perte d’information. Comme si l’entonnoir était un peu obstrué.

Cela s’explique par différentes raisons. Au bout d’un certain temps, notre concentration s’amenuise : nous pouvons être distrait par exemple par un message qui arrive si nous gardons un oeil sur nos mails, nous pouvons avoir des sujets personnels qui apparaissent dans nos pensées, ou encore l’émetteur peut ne pas être clair dans sa transmission d’information.

Cela s’explique également par le fait qu’écouter, ce n’est pas qu’entendre. C’est aussi voir, et mettre de côté notre propre expérience pour recevoir entièrement le message de son interlocuteur.

Il n’y a rien de grave et d’irrémédiable à cette situation, bien au contraire, car vous savez pratiquer l’écoute active, ou tout du moins, vous allez le savoir si vous poursuivez la lecture de cet article.

L’écoute active qu’est-ce que c’est ?
C’est une posture qui va vous permettre d’être réellement à l’écoute de vos collaborateurs lorsqu’ils vous sollicitent pour un entretien, quelle qu’en soit la raison. Pour ce faire, il est important de respecter quelques règles de base :

  • Se rendre disponible, être détendu et réceptif
    L’idée n’est pas d’être maître Yogi, le symbole de la zénitude pour tous vos collègues, rassurez-vous ! L’important est d’être disponible, sans urgence à gérer sans stress sur un dossier pendant que vous recevez la personne qui souhaite vous parler. Si vous n’êtes pas dans cette posture il n’existera pas de relation de confiance entre les 2 individus.
  • Porter un intérêt sincère à l’autre
    C’est prendre le temps de s’intéresser réellement à l’autre en évacuant toutes les pensées parasites qui pourraient arriver en le recevant. Il faut également mettre de côté vos préjugés sur la personne si vous en avez. (en lui posant des questions par exemple.)
  • Adopter des techniques favorisant l’expression (le soutien, l’enquête, l’ouverture, la compréhension)
    Tout le monde n’est pas à l’aise pour se livrer, parfois, un petit coup de pouce peut libérer la parole. Pour cela vous pouvez utiliser des techniques simples comme la reformulation, toujours sans préjugé, en le questionnant sur les éléments factuels. (où, quand, comment… évitez le pourquoi qui renvoie souvent à une perception et non à des faits objectifs)
  • Prêter attention aux signes verbaux et non verbaux
    Lorsqu’on connaît ses collaborateurs, il est possible de pouvoir repérer un changement physique ou comportemental.
  • Respecter les silences, les émotions (perceptibles)
    Nous vivons avec notre vécu, notre passé et donc nous ne sommes pas tous égaux face à certaines situations qui peuvent plus ou moins nous toucher. Les silences sont importants pour celui qui vient vous parler. Il peut faire le point sur ce qu’il a dit, chercher le courage d’aller plus loin. Le silence permet parfois de se donner du courage.
  • Laisser la personne aller jusqu’au bout de sa pensée en évitant de l’interrompre
    Interrompre votre interlocuteur peut l’amener à se refermer sur lui-même et ne plus vouloir parler. Même si vous avez compris ce qu’il veut dire depuis longtemps, laissez le aller au bout de son idée, il a besoin de s’exprimer, laissez lui cette chance.
  • Reformuler les éléments factuels et les besoins de l’autre
    Pour être certain d’avoir bien compris l’ensemble des informations.
  • Clarifiez ce qui n’est pas compris ; confirmez ce qui l’est
    Toujours dans le souci d’une parfaite compréhension.
  • Éviter les jugements hâtifs et les interprétations personnelles
    Encore une fois nous n’avons pas tous le même passé ; ce qui m’affecte, n’affectera sûrement pas de la même manière un de mes collègues et vis-versa.
  • Proposer une solution consensuelle ; inciter concrètement à agir
    C’est la force de l’écoute active. Lorsque l’on s’écoute véritablement, en laissant de côté nos préjugés, nous avons la possibilité de trouver une solution qui convient aux deux parties.

En conclusion, l’écoute active est au départ une posture. Si vous n’êtes pas dans de bonnes conditions, vous ne pouvez pas pratiquer l’écoute active. Si c’est le cas, appliquez nos petits conseils et vous verrez que vous arriverez à faire disparaître des petits problèmes qui auraient pu devenir des montagnes de problèmes !

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Accueillir un collaborateur après une longue absence

Accueillir un collaborateur après une longue absence

Comment ré-onboarder un collaborateur après une longue absence ? 5 points clés pour préparer le retour d’un collaborateur après une longue absence. Rentrant tout juste de congé maternité après 4 mois d’absence, je me trouve être inspirée par cet article. 😊

Les longues absences des salariés font partie de la vie de l’entreprise. Que ce soit pour la naissance d’un enfant, pour cause d’accident, de maladie ou pour toute autre raison personnelle, la manière dont vous accueillerez votre collaborateur aura un impact direct sur sa motivation au sein de votre entreprise.

Un salarié qui n’a pas travaillé depuis plusieurs mois, peut avoir une certaine angoisse à l’idée de reprendre son activité.
1000 questions vont surgir dans sa tête : est-ce que je suis capable de travailler comme avant ? Comment vais-je m’organiser ? Est-ce que je peux tenir de nouveau le rythme ? Est-ce que mes collègues m’en veulent de m’être absenté(e) ? ….
Votre collaborateur a besoin non seulement de savoir que sa reprise est attendue mais aussi que vous vous souciez des conditions de cette dernière.

Concrètement, comment s’y prendre ?

1) Anticiper le retour de votre collaborateur

En plusieurs mois, des changements importants sont sûrement venus rythmer la vie de votre entreprise.
– Votre collaborateur a besoin d’être formé à un nouvel outil ? Inscrivez-le en amont à une formation.
Vous avez déménagé vos locaux ? Envoyez une photo de son futur bureau pour qu’il sache que vous avez pensé à lui.
– L’organisation a évolué durant son absence ? Pensez à préparer tous les supports de communication et informations utiles lors de son retour.

2) Prévenir en amont ses collègues de son retour

Il est important que votre collaborateur puisse échanger avec les membres de son équipe pour faire le point sur l’activité mais surtout pour ne pas oublier qu’il fait partie d’un collectif.
En informant ses collègues de son retour, ces derniers peuvent programmer du temps à lui consacrer pour sa reprise.

3) Vous rendre disponible le jour de son retour

Si vous ne le pouvez pas, envoyez-lui un message. Votre collaborateur doit savoir que vous n’avez pas oublié son retour et que bien au contraire vous êtes heureux de le retrouver.

4) Laissez lui le temps de reprendre ses marques

Vous avez pu vous passer de votre collaborateur pendant plusieurs mois, laissez-lui donc du temps pour retrouver ses marques, ses automatismes de travail, son organisation. Vous n’êtes pas à 1 jour prêt.

5) Faire un bilan de cette semaine de reprise

Comment cette reprise a été vécue par votre collaborateur, quelles sont les difficultés rencontrées, les points positifs qu’il retient,…
Le bilan est important pour que votre collaborateur reprenne son activité dans les meilleures conditions.
Vous avez eu beau tout mettre en œuvre pour que son retour se passe de la meilleure des manières, il est possible que votre collaborateur soit confronté à certaines problématiques dont vous devez avoir connaissance pour les prendre en considération.
L’écoute active (autre article) sera alors votre meilleur allié.

En conclusion, un salarié qui revient après plusieurs mois d’absence a besoin de sentir qu’il est attendu, qu’il fait toujours partie du collectif et que la bienveillance à son égard sera le maître mot pour que sa reprise au travail se fasse dans les meilleures conditions.
La manière dont vous accueillerez votre collaborateur aura un impact sur sa motivation, alors à vous d’œuvrer dans le bon sens 😊

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Les bonnes pratiques de la rentrée pour les RH

Les bonnes pratiques de la rentrée pour les RH

La rentrée c’est l’équivalent côté professionnel du 1er janvier pour les bonnes résolutions. C’est donc le bon moment pour mettre en place de bonnes pratiques. Et comme pour les résolutions, il vaut mieux en avoir peu et s’y tenir que de voir trop grand et ne rien mettre en pratique !

On peut dire que depuis 2020 votre entreprise à l’image du monde a connu de nombreux changements : votre organisation, le rythme de travail, la manière d’appréhender le travail, ou encore le management de vos équipes. L’entreprise d’avant la COVID n’est plus la même aujourd’hui.
Deux manières de penser s’offrent alors à vous : le regretter et vivre dans le passé, ou y voir une opportunité pour l’avenir. Bien entendu vous allez choisir l’option 2 et vous aurez raison ! Car du positif ressort de cette période. L’autonomie gagnée par vos collaborateurs, la flexibilité et la vitesse à laquelle vous avez dû vous adapter, l’amélioration des outils numériques, etc. Il faut donc se servir de ces nouveaux atouts pour mettre en place de bonnes pratiques pour cette rentrée.

Vous vous demandez alors par quoi commencer ?

C’est vous qui avez la réponse ! Vous connaissez non seulement le cap souhaité de votre entreprise mais également celui de vos collaborateurs.

Il est donc important dans un 1er temps de prendre un temps pour la réflexion.

  • Que souhaitez-vous mettre en avant dans votre entreprise ?
  • Quelles sont vos priorités et les attentes de vos collaborateurs ?

A titre d’exemple, si votre priorité est de faire revenir vos salariés sur site mais que ces derniers ne le souhaitent pas, vous allez devoir reformuler votre souhait au risque de voir partir vos talents.
Pour cet exemple, il faut prendre en considération ce que veulent vos collaborateurs. Depuis la COVID, des habitudes ont été prises et nombreux sont les salariés à faire de leur bien être une priorité. Si passer 3h dans les transports par jour était auparavant toléré, aujourd’hui ce n’est plus le cas.
Demandez-vous alors ce qui vous pousse à faire revenir vos collaborateurs sur site ? Le souhait de retrouver une cohésion d’équipe ? C’est tout à fait louable ! Seulement, vous n’y arriverez pas si certains de vos salariés reviennent par obligation et non pas parce qu’ils y trouvent un intérêt.

De nombreuses actions sont possibles pour retrouver cet esprit d’équipe malgré la distance. Ce qui est important ici, c’est que vous entendiez vos collaborateurs. Vous devez leur expliquer les raisons pour lesquelles vous souhaitez les voir revenir sur site. Cela vous amènera à trouver un  consensus :  non seulement vous impliquez vos collaborateurs dans la recherche de solutions mais vous leur témoignez de la confiance.

Après la réflexion, vient le temps de l’action.

Après avoir entendu vos salariés, vous avez listé certaines actions, il est désormais temps de les tester! Pour garder la confiance de vos collaborateurs, il faut toujours faire ce que vous dites.
Cette nouvelle pratique est un succès ? C’est super ! Mais si ce n’est pas le cas, vous vous servirez de cette expérience pour en mettre une nouvelle en place. N’oubliez pas que le droit à l’erreur n’est pas utopique ! Il existe si vous le mettez en avant. Vous testez et si cela ne fonctionne pas, le monde ne s’arrêtera pas de tourner ! Vous tenterez autre chose au regard de cet essai et finirez par trouver la bonne solution.

En conclusion, la rentrée est l’opportunité de mettre à profit le positif apporté par la COVID et de témoigner de la confiance à vos salariés. Pour cela, vous devez les impliquer dans la mise en place de nouvelles pratiques.

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